David Rougerie,
site officiel
David Rougerie
contacts scène : 06 61 79 77 25 - davidrougerie@yahoo.fr
Pour en citer quelques-uns, David Rougerie est un
"Molière moderne" qui travaille aux P.T.T. (Poètes Tout Terrain). Réconcilier le plus grand nombre avec littérature et poésie...
Sa première langue est : Poésie non dénuée d'Humour ;
le sens du drame mais aussi de la fantaisie dans la poésie...
Artiste indépendant et itinérant.
Auteur, interprète des autres ou de lui-même,
metteur en scène à l'occasion
au théâtre, au cabaret, à la chanson, + si affinités...
(cinéma, radio, performance, rue, lecture...).
Priorité : les mots.
Mais aussi, présence silencieuse...
Egalement écrivain (11 livres parus entre 2010 et 2022)
et artiste associé et/ou co-coordinateur culturel
pour le Théâtre de Verdure de Montceaux-Ragny, pour l'Atelier l'Art de lier (librairie itinérante en Saône-et-Loire et organisation ponctuelle de spectacles), de Livres en campagne (journée littéraire tournée dans les villages de Saône-et-Loire), du Petit Théâtre du Bât de l'Âne à Saint-Jean-de-Trézy en plus de cartes blanches ou résidences artistiques proposées par divers lieux ou collectivités territoriales.
En guise de présentation, un échange effectué en toute simplicité au Petit Théâtre du Bât de l'Âne à Saint-Jean-de-Trézy
https://soundcloud.com/user-48814186
ou bien cet entretien de résidence à Saint-Etienne :
ou encore cette prise de plateau avec micro fixe :
*
Partage le plateau ou l'affiche, avec notamment
en chanson, jazz, musiques actuelles, rock :
Akim Rebeu des Bois, Christopher Allright Cross, Wladimir Anselme, Louis Arti, Nicolas Bacchus, Bancal Chéri, Jérôme Balthaze,
Pierre Barouh, Emmanuel Bémer, Eric Bonheur Trio, Jérémie Bossone,
Céline Caussimon, Denis Charolles, ClaireLise, Hervé Cristiani,
Pierre Paul Danzin, Debout sur le Zinc, Dgiz, Jacques Di Donato,
Agnès et Joseph Doherty, Elzef, Face A La Mer, Fanch, Fantazio,
Jean Fauque, Flow, Freebidou, Eric Guilleton, Marc Havet,
HK & les Saltimbanks, Léopoldine HH, Imbert Imbert, Jehan,
Nicolas Joseph, Nicolas Jules, K, Patrice Kalla, Chloé Lacan,
David Lafore, Loïc Lantoine, La Rue Kétanou, Allain Leprest,
Lise et Soizic Martin, Vanina Michel, MicMure,
Mon Côté Punk, Les Ongles Noirs, Christian Paccoud,
Dan Ferdinand/Panama, O.U.R.S. (Clément Janinet and co),
Le P’tit Bazar, Sanseverino, Gauvain Sers, Bob Solo, Thérèse, Tichot,
Ü-Travis Bürki, Zsuzsanna Varkony, Louis Ville, Steeve Waring, Yoanna, Zlot...
en musique classique :
Jeannette Aster, Cynthia Caubisens, Jean-Claude Dewaele,
Medhi Elhammami, Bertrand Giraud, Junko Hata, Ivan Ilic, Jean Martin, Jean-Luc Miteau, Nicolas Nageotte, Madeleine Naturel,
Cesar Ognibene, Zeynep Özsuca, Philippe Perrousset, Edith Rambaud, Sacha Rattle, Kinneret Sieradzki, Jean-Étienne Sotty, Olivier Urbano,
Claire Voisin, Sophia Vaillant, Ilton Wjuniski...
au cabaret ou au théâtre :
Gaëlle About, Claudine Berg, Jean-Pierre Bodin, Jacques Bonnafé,
Jacques Bonvin, Éloïse Brunet, Raphaël Callandreau, Margot Carrière,
Dominique Clément, Le Cirque Des Mirages, Jean-Laurent Cochet,
La Comédie Française, Pierre Paul Danzin, André Degaine,
Thibault Deloche, Arnaud Denis, Jean-Yves Duparc, Elsa Dupuy,
Karima El Kharraze, Rosine Favey, Paul Fructus, Benjamin Guillot,
Pierre Henri, Jean-Louis Hourdin, Jonathan Kerr, Lazare, Albert Meslay,
Richard Mitou, Gaspard Proust, Arthur Ribo, Smaïn,
Jean-Louis Terrangle, André Valverde...
à la radio, au cinéma, à la télévision :
brèves apparitions pour/et/ou/avec Isabelle Adjani, Fanny Ardant,
Pierre Arditi, Niels Arestrup, Jacques Audiard, Antonin Baudry, Dominique Besnehard, Luc Besson, Jane Birkin,
Jean-Luc Bréchat, Vincent Cassel, Laetitia Casta, Antoine De Caunes, Gérard Depardieu, Emmanuelle Devos, Léa Drucker, Nath Dumont, Romain Duris, Vincent Elbaz, Rosine Favey, Suzanne Flon,
Anne Fontaine, Jacques Gamblin, Anouk Grinberg,
Virginie Gurévick, Benoît Jacquot, Michèle Larroque, Gabriel Le Bomin,
Michel Leclerc, Patrice Lecomte, Claude Lelouch, Thierry Lhermitte,
Micha Lescot, Fabrice Luchini, Bruno Madinier, Abd'Al Malik ,
Kad Merad, Sophie Marceau, Olivier Marchal, Pierre Mondy, Palmashow,
Claude Piéplu, Dominique Pinon, Charlotte Rampling, Alain Resnais,
Jean Rochefort, Bertrand Tavernier, Jean Yanne, Michaël Youn...
en littérature :
Isabelle Ascencio, Jeanne Benameur, Olivier Bertrand,
Philippe Bouret, Denis Bretin, Marcel Conche, Bruno Doucey,
Alizée Gau,David Foenkinos, Eric Fottorino, Jacques Fournier, Armand Gatti, Brigitte Giraud, Luc de Goustine, Serge Joncour, Claire Kalfon, Michel Lagrange, Armel Louis, Jean-Pierre Luminet,
Isabelle Mayault, Daniel Mesguich, François Mocaër,
Jean-Pierre Mocky, Daniel Picouly, Emmanuel Pierrat,
Jacques-François Piquet, Marc Roger, Corinne Royer, Sapho,
Service Culturel de Saint-Etienne (résidence poétique de 4 mois),
Hervé Vilard, Marc Villemain, Matthias Vincenot...
en arts graphiques, photo, aquarelle, sculpture, caricature... :
Julie Allonzo, Anthon, David Barbe, Beaux Arts de Genève, Christophe Cuby, Brigitte Derbigny, Emmanuèle Duclos-Haillot,
Emmanuel Gonnet, Philippe Guerry, Laurence Malval,
Andrée Ospina, Florent Prudent, Subido...
quelques lieux ou festivals :
Festival d'Aurillac, Festival d'Avignon,
Festival Chalon dans la rue, Théâtre National de Toulouse,
Forum Léo Ferré Ivry-sur-Seine, Théâtre National de la Colline,
Ciné 13 Théâtre, Théâtre de la Mutualité, Le Divan du Monde,
La Bellevilloise, Théâtre du Petit Saint-Martin, Comédie Nation, Marché de la Poésie... à Paris, Cabaret l'Escale à Migennes,
Salle Jean Genet à Couches, Théâtre du Casino à Royat,
Festival de Cluny (Jean-Louis Hourdin, La Comédie Française),
résidence poétique via Cités Educatives à Saint-Etienne
(Education Nationale, Médiathèques, Ville d'Art et d'Histoire, Associations d'Education Populaire...), Fête de l'Huma,
Théâtre du Fil Savigny/Orge (joue avec La Rue Kétanou),
Festival de Poésie Sauvage à La Salvetat-sur-Agoût,
Valbonne en Poésie, Vivats à Viricelles...
joue en Angleterre, Belgique, Guyane, Pologne, Portugal, Suisse.
Ils ont dit :
LE MONDE (journal) : " Un instant de grâce (la vie n'a pas d'âge). D'autant que le garçon n'en fait pas des tonnes... "
LOÏC LANTOINE (chanson pas chantée) : « J'ai passé une excellente soirée. Il ne nous prend pas pour des cons avec ses textes. Il les dit pour chacun de nous qui l'écoutons. C'est bien. »
JEAN-LOUIS HOURDIN (comédien et metteur en scène) : « J'ai été étonné de cette chose si personnelle en même temps que si généreuse. Et puis les textes sont très beaux… »
ALBERT MESLAY (humoriste) : " Tu assures. Tu bouges bien, autant dans un lieu intimiste que sur un grand plateau. Ton regard nous tient en même temps qu'il nous interroge. Subtil mélange de poésie et d'humour. Pas d'effet putassier, c'est fin. "
PASCAL PAPINI (comédien et metteur en scène) : « Un délinquant de l'écriture.»
ALLAIN LEPREST (poète et chanteur) : "Très juste. Peut-être que je ne lui ai pas dit assez combien je l'appréciais depuis que je le croise sur un plateau parfois."
PIERRE HENRI (humoriste et poète) : "Une sorte de jazz verbal, étrange et singulier."
JEHAN (chanteur) : " A ce quelque chose qui n'appartient qu'à lui seul. "
JEAN-LAURENT COCHET (professeur des Depardieu, Luchini, Berry, Auteuil..., metteur en scène, comédien) : "Intelligent comme personne. A plusieurs âges. Il peut être dangereux, et il y a une enfance aussi. Joue merveilleusement la situation ; la gestuelle elle-même est superbe, ses regards, son écoute. C'est complètement enthousiasmant. On se dit : il est donc tout cela mais qui est-il ? De la graine d'un grand interprète. Peut être un très grand. On n'a pas besoin de toutes ces subventions quand on a vraiment quelque chose à dire. Il est remarquable. Harmonique tout en étant inattendu."
LA RUE KETANOU (groupe chanson) : « Nous, David Rougerie, on aime bien parce qu'il fait rimer la rue ket' avec on parle un peu quéquette... Au début, on se demandait : qu'est-ce qu'il veut celui-là ?... Mais en fait, c'est de la vraie chanson. Il est de la famille. Allez le voir ! »
LAURELINE KUNTZ (comédienne-chroniqueuse) : << David Rougerie nous emmène au royaume "absurdium delirium très dense" avec ses textes originaux. >>
LOUIS ARTI (poète et chanteur) : « Le rouge rit à la façon des arbres et de la mer... Oui, l'homme intérieur Rougerie est une syllabe de Camélias… Devant, la grammaire de la poésie se prend à marcher vers nos têtes apportant ses alizés de liberté… Remettant l'humain au centre de la pensée et l'enfance en contrepoids à l'équilibre mental : celui qui nous délivre du matérialisme, par exemple !
Le rouge rit de plus belle : on ne voit qu'un trait entre ses lèvres, une griffe rose, c'est son art. Il marche comme on tremble dans la promenade des soirs forestiers… Non, David rebondit et le public Rougerie ! »
FABIENNE PRALON (chanteuse et comédienne) : « C'est bien ce que je pensais. Un poète et le mot, et bien celui-là qui... Une écriture, une parole dans un corps singulier qui le porte haut et profond ! »
FRANCE-GUYANE (journal) : " David Rougerie crée tout un univers autour de la parole et l'écrit dans un souci permanent de curiosité avec sensibilité. Un personnage. "
JOSEPH CANTALOU (star aux six milliards de fans...) : « Plein de reliefs, d’absurde, de poésie. Une performance théâtrale d’un comédien à plusieurs visages et au talent multiple. Bonne continuation à lui. »
ÉRIC HEURTAIN (critique dramatique) : « ... Certains tournent autour du pot, lui circule autour de son accompagnateur à pas glissés. C’est comme un élan,
quelques pas de reculade pour mieux sauter sur les mots.
Ah : ses paroles se veulent percutantes, voilà la raison.
Ainsi, ses mains ont leur propre rôle dans le cours du
spectacle et il convient qu’elles fassent ce que fait le lièvre
en société : imposer un rythme, frapper pour avertir du
danger : il va commencer à parler.
Pourquoi recherchons-nous en aveugle la poésie, la
vraie, et pourquoi ce que David déblatère en est ? Parce
que la poésie est sans doute l’une des seules voies qui nous
restent pour changer nos mots et, avec eux, ce qu’ils
disent et la part que nous en vivons. Tantôt ce sont des
discours, de viriles déclarations d’intention, dont on sent
qu’elles ne sont pas les premières, qu’elles ont
accompagné périodiquement les personnages pour remon
ter leur ressort. Un homme se rappelle qu’il n’a pas décidé
de vivre pour s’enfermer dans l’espace étroit d’un modèle
réduit. A d’autres moments, il s’attendrit sur des femmes
connues, rêvées ou possibles, même dans ce qu’elles
avaient d’impossible ou de trop décalé pour n’être que des
épisodes, des songes ou des errements. Leurs manières et
leurs paroles, quelques moments privilégiés, leur
silhouette, leur corps resurgis font écho à la foi réaffirmée
de persévérer dans une existence énergique. D’ailleurs,
leur conclusion le propulse souvent hors de la scène.
Il y aussi la camaraderie, arrosée sans remord et
admirative, ces moments de chaleur et de présence où l’on
prend chacun des forces dans les succès provisoires que
remportent nos compagnons d’humanité sur la banalité et
la compression des esprits. S’intercalent les épisodes plus
calmes et plus sereins des voyages, des marches et des
excursions vers un certain plaisir de l’existence, où l’on
peut se moquer gentiment des décors et des gens qui les
animent ou bien retrouver, apaisées, les émotions
formatrices attachées aux lieux.
Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Soudain, il chante, il
chantonne, il siffle, il trombonise, il joue à l’indien de cour
de récré, il fait le bluesman ou glisse vers le reggae. Les
variations de style et les atmosphères musicales
détournées ou inventées contrepointent les mélanges de
mots souvent librement rimés dans des jeux de vocabulaire
qui maintiennent l’auditeur en éveil.
On peut traverser de longues plages de vie sans parvenir
à nommer ce qui nous rend insatisfait, attentif à des
changements qui ne viennent pas, ressentant le besoin de
mots qui ne font que passer un peu loin de nous à l’état de
fantômes et sans vraiment marquer notre conscience ni le
début d’un accès de lucidité et de vélocité d’esprit. David
Rougerie et son complice nous offrent l’occasion, de nous
faire escorter par des pensers plus volontaires et de faire
sortir de nous, à tâtons, des songes plus beaux et plus
larges que nos rêves ordinaires. "
LA PROVENCE : " Cinq bouquins au compteur, de la radio, du ciné, des lectures, du théâtre depuis l'âge de 19 ans et de la chanson. De gestes, la chanson... Peut-être un peu à cause de son tempérament sautillant de diablotin. Et sûrement aussi à cause de ce théâtre où le corps porte la voix qui porte le texte. Texte qu'il ne peut s'empêcher de mettre en scène comme il aime à mettre en scène les autres. Parce que les plus totales des planches sont celles du cabaret et c'est là qu'il repeint le mieux au tendre humour l'acidité que notre monde ne peut qu'inspirer au lucide. Le tout est à découvrir ! "
En troupe :
COURRIER PICARD : " A joué devant un public conquis ! "
VAL MAGAZINE : " Un spectacle de cabaret de haut niveau où le rire le plus débridé pouvait côtoyer le sérieux le plus grave. Un succès d'affluence. Preuve de leur talent. "
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ : " Un poème fraternel révélé avec une lucidité joyeuse. En deux représentations à vif succès, sur un rythme soutenu et avec vive énergie, ce texte de matière dense s'adresse au public qui le reçoit en plein coeur. "
FANZ'YO : " Comédiens au bord de la rupture, émouvants, lumineux. Nous éclatons de rire, nous avons les larmes aux yeux. Une énergie qui était belle à voir et à entendre, très communicative, un mélange de déconnade franche et de sérieux, avec aussi des textes d'actualité, engagés. "