David Rougerie,
site officiel
Spectacles
spectacles en tournée ; reprises...
Rougebrique et deux broc's !
Didier Billet : percussions
Jacky Limballe : clavier
David Rougerie : maçonnerie verbale, fantaisies sonores
parole de concert, de broc et de brique !
Les percussions d'horizons divers martèleront les propos de l'auteur. Les claviers, ambiants et mélodiques, coloreront chaque sujet. Sourire en coin, l'aspect chanson s'insérera là au deuxième degré, voire troisième, complice des fantaisies ici développées. L’architecture de l’espace textuel et sonore s’imbriquera avec une subtilité malicieuse en ce théâtre de concert, presque cinématographique en certains tableaux...
Les thèmes ? Universels et intimes : la liberté d'expression rarement conquise par exemple. Nous nous laisserons néanmoins surprendre par un flamenco de la flammekueche ou encore par un kangourou somnambule...
Le Journal de Saône et Loire - Suzanne Philippe : " ... Poésie à la fois tendre et acide, avec ce déluge verbal et gestuel de David Rougerie avec Jacky Limballe et Didier Billet. Amour, liberté, société, politique... Rien du comportement humain n'a échappé à l'oeil aiguisé de l'auteur, acteur, chanteur."
Vivre à Chalon - Christiane Chapé : « David Rougerie, un conteur dont la réputation n'est plus à faire dans notre belle région et au-delà … Sur des textes de sa composition, baguenaudant notre esprit à divers degrés de compréhension, David, tour à tour, tendre, drôle, acide, malicieux, fantaisiste, sérieux et subtil, parle, au travers de plusieurs tableaux. C'est du « branque-broc'n'roll » se plait-il à ironiser… toutefois travaillé sur le bout des ongles, perlé, avec une gestuelle ondulée et expressive et ponctuée juste là où il faut, grâce à deux musiciens rompus à l'exercice, par de belles interprétations musicales, mélodiques et rythmiques à souhait.
De la belle ouvrage, qui embarque son auditoire durant une bonne heure, au pays d'un ailleurs, conduite par un David pétillant et accompagné par Jacky et Didier dits mijotés et gratinés. "
Le JSL - Anne Jaquemot : " Est-ce son faux air de pâtre grec ? Son fin profil et ses immenses yeux bleus ? Le poète David Rougerie a cette façon unique de regarder chaque spectateur en assénant gentiment des phrases à sens multiples. Les mots tournent sur eux-mêmes, comme leur interprète arrivant sur scène en tapant sur une boule rouge. Il saute, il tape du pied, il bat la mesure avec ses bras, il contemple fugacement Didier Billet, aux percussions, puis Jacky Limballe, au clavier. Les mots deviennent vite presque du chant, son sifflet répond au klaxon de la flânerie d’un kangourou à une semaine d’existence humaine, il sera passé, si discret, le poète, « sans tambour, ni trompette »... "
Le JSL - Emmanuel Mère : Poète et comédien, David Rougerie a régalé son public dans un spectacle à la fois tendre et malicieux, sérieux et subtil . Il a partagé avec son public fulgurances verbales, jeux de mots et acrobaties poético-politiques au rythme d’un accompagnement musical inventif. Tour à tour rock et planante, l’ambiance musicale a mis en relief les talents d’acteur de David, sa gestuelle inspirée, sa voix envoûtante et son visage à la Harold Lloyd, impassible et formidablement expressif à la fois. Inclassable mais captivant, le spectacle Rougebrique et deux broc’s est porté par des artistes de grande classe qui mérite d’être vu par le plus grand nombre.
Ce spectacle a reçu une aide à la création
du Conseil Départemental de Saône-et-Loire.
Plus en détails :
http://jeuxdemains.wix.com/rougebriqueet2brocs
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Rencontrés !
jactance caco-feutrée
de et avec DAVID ROUGERIE, chanté-parlé
et de musiciens rencontrés sur la route ou à leur invitation
A accueillir en résidence. Salles de musiques actuelles, scènes jazz, orchestres symphoniques, fanfares ...
Puis, passons à table sur scène !
Voici une petite vidéo (de moyenne qualité et derrière un micro... lors d'une soirée avec Vanina Michel et Jean Fauque
au Bateau-Théâtre La Balle au Bond à Paris)
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=okZB3CJ91bI
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Je vous livre ?...
l'auteur se déplace avec (les livres...) !
tour d'horizon en lecture des derniers livres de David Rougerie
A géométrie littéraire variable, dans une mise en scène et une mise en bouche des plus dépouillées mais enlevées, David Rougerie offre lors de cette lecture-spectacle la quintessence de ses écrits, sorte de tour d'horizon de ses six ouvrages. Le comédien qu'il est pourrait se passer de la présence du livre sous ses yeux mais il tient à cet instant-lecture, aussi court soit-il.
Présence du livre comme un accessoire, un décor, une mise en lumière sans doute, celle-ci : " à quoi et à qui sert la lecture ? " ; que veut dire " faire paraître un livre aujourd'hui ? " David Rougerie prend l'espace avec ou sans, auprès des gens avec le mot. Il réussit à être percutant avec douceur.
Le Bien Public :
" Un Festival Cours, Eau, Jardin vocabulairement musical et engagé avec David Rougerie qui laissait une large place aux dissonances, assonances, consonances et allitérations des mots pour laisser divaguer un jazz verbal. "
Le Journal de Saône-et-Loire :
" Le jeune artiste poursuit avec opiniâtreté sa passion de jouer avec les mots à double sens, avec des calembours sur des sujets réels ou fictifs. Il aime pratiquer les jeux de mots au théâtre, au cabaret, et même en chantant, car il est aussi parolier et interprète de ses propres chansons. "
Le Populaire :
" David Rougerie mélange brillamment les styles. "
La Montagne :
" Au delà de la lecture, David Rougerie a mis en avant l'étendue de ses talents d'artiste. "
La Tribune de Genève :
" Un entretien particulier. "
L'Impartial :
" Un artiste complet. "
Des lectures-spectacles tout terrain !
De la rue à la bibliothèque, du théâtre à la librairie,
du bistrot en ville jusqu'en pleine nature...
A votre goût, messieurs-dames !
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LECTURES EN SOLITAIRE AVEC DAVID ROUGERIE
Une intention, une seule :
être un lecteur-passeur ;
en un clin d’œil de voix et de langue,
avec sobriété et intimité mais plein de santé,
pour mieux s’insérer dans l’écriture de l'auteur(e).
MARGUERITE DURAS (1914-1996) : Visage solitaire
A l'honneur ici, l'insondable besoin de l'écrivaine de décrire à tout prix, jusqu'à des petits riens, le temps qui passe visible et invisible, dans une langue simple de laquelle ressort toute sa puissance d'écriture. Le style parfois se dénude. Il est un cri silencieux.
ANTOINE DE SAINT EXUPÉRY (1900-1944) : Vol de nuit
Le roman qui a révélé l'auteur au grand public (prix Fémina 1931). L'humanité de Saint-Ex a fait date ; même vue d'en haut... Stéphane COLAS - JSL : " David Rougerie sait aussi livrer un texte avec talent. Juste éclairé par la lueur d’une lampe, David a livré une lecture en finesse, emportant avec lui l’auditoire dans cet avion survolant l’Amérique du sud. "
Samuel Bon - Info Chalon : "Roman qui a pour particularité d’être dépouillé de toutes fioritures à prétentions littéraires ainsi que récit exaltant l’oubli de soi, sous réserve qu’il soit libre et volontaire, pour servir la grandeur d’une cause dépassant le seul individu, la lecture inspirée qu’en a faite David Rougerie a donné une résonance particulière et même, en un certain sens, magnifié l’action de celles et ceux qui, pour atteindre l’objectif qu’ils se sont assigné, donnent sans compter de leur temps et de leur énergie : les associatifs."
JOSEPH DELTEIL (1894-1978) : Les Poilus
Il y a quelqu'un qui est en dehors et au-dessus de la guerre : c'est le Poilu. Delteil a la tête épique. Il chante le Poilu. Il chante l'Homme. Avec une certaine santé d'écriture qui lui est propre.
Le JSL : " David Rougerie avec cette lecture a donné une belle leçon d'histoire. " Info Chalon : " Succès de la dernière lecture de David Rougerie sur la Grande Guerre. "
ÉTIENNE DE LA BOÉTIE (1530-1563): De la servitude volontaire
Oeuvre d'un jeune homme de dix-huit ans (ô combien actuelle!), ce texte analyse les rapports maître-esclave qui régissent le monde. Leçon politique, éthique et morale, La Boétie nous invite à la révolte contre toute oppression.
GUSTAVE FLAUBERT (1821 -1880) : Un coeur simple
" Ce que j'aimerais faire, ce qui me semble beau, c'est de faire un livre sur rien. Un livre qui se tiendrait par son style. " Traversée d'une existence, celle de Félicité, en laquelle tous les petits riens prennent une importance, en la solitude normande...
VICTOR HUGO (1802 - 1885) : Les rayons et les ombres
Hugo pose là, sous divers aspects, la fonction même du poète. Par la puissance et la simplicité de son écriture, il prétend amener la poésie au plus près des hommes en empruntant des chemins universels : mélancolie propre à tous et bonheurs qu'offre la nature.
JEAN GIONO (1895-1970) : L'homme qui plantait des arbres
Un berger solitaire plante des arbres, des milliers d'arbres. Au fil des ans, le vieil homme a réalisé son rêve : la lande aride et désolée est devenue une terre pleine de vie. Un portrait émouvant et un hymne à la nature.
DAVID FOENKINOS (1974) : Charlotte
Histoire de Charlotte Salomon (1917-1943), à l'oeuvre complexe mêlant théâtre, peinture et musique. Un cheminement fulgurant depuis son enfance jusqu'à ce qu'elle décide de devenir artiste. "C'est toute ma vie", furent ses mots lorsqu'elle confiera son oeuvre avant d'être déportée. Foenkinos à Rougerie : "Ah magnifique ! Merci. Merci encore d'être un relai pour Charlotte."
VLADIMIR MAÏAKOVSKI (1893-1930) : Ambassadeur du vers !
Le mot se dresse, chez le poète. Transformer la vie quotidienne, la vie tout entière, l’amour et l’art y compris. Poète de la révolution, il a révolutionné la poésie.
ERIC MARTINS DA FONSECA : Décor de l'envers
Errance tant physique que de l’esprit dans l’Interdit,
espace dédié à l’irréel schizophrénique de l’auteur,
et ses idées décalées mais créatives.
STEFAN ZWEIG (1881-1942): Vingt quatre heures de la vie d'une femme
Une vieille dame anglaise très distinguée raconte les feux mal éteints du récit d'une passion foudroyante. Une des plus incontestables réussites de l'auteur.
FRANZ KAFKA (1883-1924) : Lettre au père
"Très cher père, tu m'as demandé l'autre jour pourquoi je dis que je te crains. Comme d'habitude, je n'ai rien su te répondre, en partie justement à cause de la crainte que j'ai de toi, en partie parce qu'il me faut, pour expliquer cette crainte, entrer dans une foule de détails dont je ne pourrais rendre compte oralement avec tant soit peu de cohérence."
FERNANDO PESSOA (1888-1935) : Le pèlerin
Le jeune narrateur évoque d'abord sa vie paisible chez ses parents, jusqu'au jour où, alors qu'il contemple la route en bas de chez lui, apparaît un mystérieux Homme en noir qui lui dit : "Ne fixe pas la route ; suis-là". Une force mystérieuse le pousse alors à quitter sa maison et à suivre la route. Jusqu'où ?
David Rougerie (1977 - encore vivant...) essaiera de vivre encore un peu pour vous en lire quelques pages...
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Ma fenêtre reste ouverte
pour faire entrer le ciel
spectacle autour de la relation de
Consuelo et Antoine de Saint-Exupéry
Compagnie du Bonheur Vert
mise en scène de Gaëlle About
avec Elsa Dupuy et David Rougerie
En 1930, Antoine de Saint Exupéry est nommé chef du Bureau de l’Aéropostale à Buenos Aires. Il y rencontre la jeune veuve de l’écrivain Gomez Carillo, Consuelo Suncin Sandoval. C’est le coup de foudre. Il la demande en mariage et elle se laisse séduire. Mais la famille de Saint-Ex est réticente vis-à-vis de celle qu’on considère un peu comme une aventurière. Le mariage se fera malgré tout en avril 1931. Puis commence une existence bohème et aventureuse, entre infidélités réciproques et lien indestructible entre ces deux passionnés.
Explorer cette rencontre entre deux êtres aux désirs et attachements déchirants et contradictoires... Une rencontre explosive dont l’écho résonne encore.
proposition "d'un week-end Saint-Exupéry" en trois volets
avec Le Petit Prince (spectacle) et la lecture "Vol de nuit".
crédit photos : Jean-François Guillermet
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Gabriel Voisin,
le vieux constructeur
d'après les livres de Gabriel Voisin
et les entretiens de Philippe About et de Gabriel Voisin ;
adaptation et mise en scène de Gaëlle About ;
avec David Rougerie et Jean-Louis Terrangle.
Il est rare de rencontrer un génie, un de ces visionnaires qui, en l'espace de quelques années, révolutionne nos modes de transports et notre façon même d'envisager le monde.
Cet inventeur avait créé les premiers avions capables de voler de façon autonome.
Il s'était ensuite voué à l'automobile et a réalisé des voitures très élégantes et d'autres très rapides qui battaient tous les records du monde.
Bousculé par la vie, par les deuils, par les aventures amoureuses, il avait posé ses valises au bord de la Saône.
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Des Vies
adaptation théâtrale de la nouvelle éponyme de Loïc Lobut
collectif de création Des Vies ; mise en scène : Izia Bernard
avec : Matéo Adam, Sofia Barzyk, Jérémie Ghamo,
David Rougerie, Maëlle Rougerie, Pascal-Ludovic Saissi,
Noémie Solignac
régie : Valentin Jacquet
1ère représentation : 26 mai 2023
Flora, elle ne sait pas bien s'y prendre.
Elle est toujours prête à se rendre.
Elle vous quitte comme elle irait se pendre.
Elle aimerait bien ne pas dépendre.
Flora se sent partout perdue, au milieu..
Son imagination part en n'importe quel lieu.
Elle se trouve au carrefour des percussions,
des persécutions et de leurs répercussions !
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La Galerie Golot
compagnie Les Enclumés
Direction artistique : Cédric Touzé.
lesenclumes.net
Comédien-ne en alternance :
Matthias Beaudoin, Mamou Foldyna, David Rougerie.
Marionnettistes :
Raquel Esteban Santamaria et Cédric Touzé.
Techniciens en alternance :
Guillaume Clerget ou Clément Thibaudet.
entresort-visite-énigme-spectacle de 40 minutes environ
(possibilité de 4 à 8 visites par jour selon contexte)
Jauge de 12 personnes maximum ;
entresort familial à partir de 5 ans
Entrez dans la galerie insolite d'Henri Golot,
le plus grand collectionneur d'oeuvres lilliputiennes!
Découverte active de grandioses miniatures ;
chasse à l'art, dans la plus grande petite galerie du monde!
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Ateliers d’écriture, de prise de parole
et/ou d’interprétation
projets pédagogiques, associatifs, sociaux-culturels...
intergénérationnels :
enfants ; personnes âgées ; ou qui balancent entre deux âges !
Écrire ; et le dire !
Ils diront ce qu’ils écriront.
Écrire
Avec ou sans thème, n’imposons rien au début. Mêlons-nous tout d’abord de délier l’imagination qui dictera ensuite au poignet.
Ils écriront ce qu’ils voudront. Je les aiderai à trouver, sans leur dire lesquels, les mots qui reflèteront leurs pensées ; la pensée de chacun.
Chaque ligne naîtra de la rencontre individuelle, de ce que chacun aimerait sortir d'elle ou de lui, de la fantaisie à quelques profondeurs…
L’affirmation de chacun créera la parole commune : nous tisserons alors le lien.
L’écriture collective sera l’une des tentatives. Le chœur se fondera déjà sur pages blanches noircies.
Parce qu’écrire, c’est délier la pensée.
Parce qu’écrire avant de parler devant une assemblée, ce n’est pas brusquer.
Parce qu’un atelier d’écriture n’est pas un cours de français, bien qu’il puisse aider à celui-ci.
Parce qu’un atelier d’écriture aide à décomplexer les idées.
Parce qu’écrire, c’est déjà prendre la parole.
« Alors, prenons-la ! »
Dire
Dire ce que l’on écrit, c’est toujours s’assumer un peu plus… Mais les participants seront plus généreux encore : le collègue de la mine de crayon offrira quelquefois son texte à l’autre qui le dira...
J’aiderai celle ou celui qui prendra la parole à l’assumer physi-quement aussi : avec ce qu’elle ou lui représente mais surtout ce qu’elle ou lui est.
D’autres lignes se porteront à l’audience à plusieurs voix. Chaque être se dressera sur l’estrade, le tréteau, le plateau…
Parce que dans un monde de communication via les moyens techno-logiques accessibles à tous, l’humain échange moins avec l’humain.
- Quelle méthode employez-vous ?
- Pas de méthode. Avant même « un groupe à gérer », il y a des spécimens uniques. Je m’attarde donc avec chacune, chacun, avec bienveillance, pour mieux apprendre à s’écouter l’un l’autre justement ; sans déstabiliser. Nous stimulerons cependant le groupe, fier de toutes ses différences, par des prises de parole communes.
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ancien spectacle :